Un balcon sur la nuit
de Étienne Palle
ISBN: 978-237916-229-9
20,00€
Tout commence en ville par un crime odieux commis sans raison apparente. Un beau matin, une jeune femme est assassinée chez elle. Les soupçons se portent naturellement sur son ex-fiancé, l’ingénieur Georges Ostar, qui semble tout désigné pour être le coupable idéal. Alors que l’enquête piétine, Georges et sa femme Arpagie deviennent, malgré eux, les otages d’une guerre froide sans merci, mêlant soldats du passé et amants obscurs. Sur ordre de sa hiérarchie, Natacha, officier du renseignement russe, séduit Georges pour obtenir des informations confidentielles.
Vie du livre
Description
Tout commence en ville par un crime odieux commis sans raison apparente. Un beau matin, une jeune femme est assassinée chez elle. Les soupçons se portent naturellement sur son ex-fiancé, l’ingénieur Georges Ostar, qui semble tout désigné pour être le coupable idéal. Alors que l’enquête piétine, Georges et sa femme Arpagie deviennent, malgré eux, les otages d’une guerre froide sans merci, mêlant soldats du passé et amants obscurs. Sur ordre de sa hiérarchie, Natacha, officier du renseignement russe, séduit Georges pour obtenir des informations confidentielles.
Tandis que se profile une crise migratoire sans précédent, les grandes villes sont plongées dans un climat d’insécurité extrême. Lorsque les quartiers s’embrasent, la confrontation est inévitable.
Ces âmes généreuses que rien ne destine à un tel bouleversement vont devoir affronter de plein fouet la réalité d’un nouveau monde qui les dépasse. Les évènements sont d’une rare violence et font de chaque ville un enfer où règne le chaos ou un sanctuaire où se réfugier. Si le jardin originel est perdu, au moins reste-t-il à ces âmes enthousiastes la volonté de recréer un eldorado dans la ville où rien ne manque.
Depuis toujours, les mots et leur étymologie sont pour moi un enchantement. Leur histoire nous relie au passé et aux sources de l’écriture comme langage entre les êtres. Je n’ai jamais pensé que j’écrirais un jour mais l’idée m’est venue peu à peu au travers de l’imaginaire que recouvrent les mots, les images ou les sons, la musique notamment. Cet imaginaire est chez moi comme une seconde nature et je n’ai jamais souffert du syndrome de la page blanche. L’écriture des autres est un modèle que j’admire, une façon de communiquer ses émotions, de les partager comme la peinture ou la musique. Je rêve de pouvoir en faire de même et séduire les lecteurs en leur faisant partager cet imaginaire.