Pour un capitalisme humaniste
de Jean-Pierre Llabrés
ISBN: 9782384419685
17,00€
Ce livre s’adresse à tous les citoyens-électeurs-contribuables français, qu’ils soient pro ou anti capitalisme.
Le capitalisme est le meilleur des systèmes économiques pour créer des richesses. Mais, depuis toujours, il recèle une ultime contradiction : son incapacité à répartir ces richesses équitablement. […]
Vie du livre
Description
Ce livre s’adresse à tous les citoyens-électeurs-contribuables français, qu’ils soient pro ou anti capitalisme.
Le capitalisme est le meilleur des systèmes économiques pour créer des richesses. Mais, depuis toujours, il recèle une ultime contradiction : son incapacité à répartir ces richesses équitablement.
Une société authentiquement civilisée se doit d’assurer inconditionnellement au plus humble de ses membres un revenu décent. Pour ce faire, nombre de personnes espèrent en un revenu universel financé par la fiscalité sans refondation du capitalisme auquel on peut préférer le dividende universel financé par l’épargne avec refondation du capitalisme permettant de générer un fonds souverain français démocratiquement géré par une assemblée représentative des citoyens-électeurs français.
Il existe une quasi-unanimité pour déclarer que nous ne pouvons laisser nos enfants, petits-enfants et les générations futures, sous les menaces d’une dette de 3 000 milliards d’euros et d’un déficit annuel du budget de l’État de plus de 150 milliards d’euros, mais personne ne propose de programmes susceptibles d’en finir, à long terme, avec ces menaces.
Le dividende universel répond à ces défis. Les enfants naîtront « retraités », rentiers et, par la suite, pourront exercer une profession très, voire extrêmement, voire excessivement rémunératrice sans être accusés d’exploiter qui que ce soit. Le concept de chômage disparaîtra définitivement.
Jean-Pierre Llabrés, né en 1946, est un économiste de l’agro, expert en stratégies de sécurité alimentaire et en commercialisation de produits vivriers. En 2021, il a publié La légende des « coyotes », nouvelle traitant du caractère inique de la rémunération des agriculteurs de produits vivriers dans les pays dits en développement.