Narderans
de Alain Gegout
ISBN: 978-2-37916-210-7
21,00€
L’histoire d’un serial tagueur. Il sévit dans le Jura pendant ces dernières années. Sa cible : Les 4×4 qui envahissent la montagne pendant la période de rut des chasseurs avec une prédilection pour les off-road tendances pickup. On ne sait pas qui il est exactement. Le peu de rumeurs le disent plutôt petit brun avec une barbe sombre mal entretenue. La trentaine. Pas de Nom ni d’adresse connue. On retrouve à quelques endroits les traces de son passage, Pré Bouillet et le chalet du Sac, Narderans… Pendant l’hiver son activité se calme, moins de tags sont signalés. Il s’attaque aux chasseurs avant tout et accessoirement à tout 4×4 qui se gare dans la zone de la réserve ou parc naturel du Jura…
Vie du livre
Description
L’histoire d’un serial tagueur. Il sévit dans le Jura pendant ces dernières années. Sa cible : Les 4×4 qui envahissent la montagne pendant la période de rut des chasseurs avec une prédilection pour les off-road tendances pickup. On ne sait pas qui il est exactement. Le peu de rumeurs le disent plutôt petit brun avec une barbe sombre mal entretenue. La trentaine. Pas de Nom ni d’adresse connue. On retrouve à quelques endroits les traces de son passage, Pré Bouillet et le chalet du Sac, Narderans… Pendant l’hiver son activité se calme, moins de tags sont signalés. Il s’attaque aux chasseurs avant tout et accessoirement à tout 4×4 qui se gare dans la zone de la réserve ou parc naturel du Jura.
Ses tags deviennent avec le temps (b’cause la prise de position du Macron en 2018 qui encourage la pratique de la chasse.) de plus en plus sauvages et violents, les couleurs utilisées sont le rouge et le vert, des lignes noires définissent le dessin, ça dégouline…
Le fil de cette saga mène toujours au Tiocan, ici se trouve la machine à café, c’est Bagdad café… Là se situe le départ du chemin de l’évasion pour les 600 000 personnes qui vivent dans le bassin Genevois. La ville on la voit au loin, le fameux jet d’eau, la nuit des lignes de lumière vont droit sur le centre en passant au long des bâtiments du CERN. On revient souvent dans le Piémont du Jura, là où vit le narrateur, il sort le soir sur la terrasse, compte les avions qui traversent l’obscurité en clignotant.