Description

Au commencement de cette histoire, il y a la Lune. Elle m’a accompagné tout au long de ces pages, elle a soufflé dans la pivana de Péppu et a chanté Chjara di Luna. Les pas de Péppu ont emprunté les miens sur les crêtes de l’île séparant les deux mers. Je voulais écrire une parabole sur l’utilisation des écrans, c’est ainsi que naquirent les Miros.
Mes Miros n’ont pas la tête rectangulaire et sont plutôt sympathiques dans leur rôle de compagnons se voulant idéal. Dans ce récit, le bien et le mal ne sont que des apparences, les Miros agissent selon leur nature originelle qui est de satisfaire leurs maîtres. Les Miros ont la puissance que les hommes leur donnent.
Péppu habite sur une île, on l’appelle l’île du Cœur perdu, personne ne sait pourquoi on la nomme ainsi. Chaque habitant possède un Miro qui le suit partout. Les Miros captivent sans interruption l’attention de leurs maîtres. Les Miros sont allumés nuit et jour. Ils sont les compagnons préférés des petits et des grands sauf un, le Miro de Péppu.
Péppu néglige son Miro, il préfère aller gambader par les chemins de montagne. Une rencontre inattendue révélera-t-elle à Péppu la vérité sur les Miros et leur mystérieuse origine ? Qui est vraiment Chjara di Luna ? Que cache l’île du Cœur perdu ?

Son écriture est un exorcisme contre l’absurdité du monde et une incantation à sa beauté. Le verbe abolit les frontières entre les arts, surprend par son extrême dénuement l’artiste pluridisciplinaire, troque toutes ses panoplies plus ou moins sophistiquées pour la pointe d’une plume et celle d’un crayon. Le conte est intergénérationnel, il relie le monde de l’enfance à celui de l’âge adulte et vice versa, là réside sa magie.

Retrouvez l’auteur du Facebook et YouTube.