L'errant sur les confins
de Jean-Marie Magnan
ISBN: 978-2-37916-615-0
18,00€
Dans son ultime roman au titre évocateur, Jean-Marie Magnan narre le parcours initiatique de Vincent, jeune Arlésien épris de littérature, depuis sa naissance jusqu’à son âge mûr. Une riche existence qui le mènera de l’Arles des années 1930, de l’Occupation et de la Libération, jusqu’au Paris politique, intellectuel et littéraire de la seconde moitié du XXe siècle. On y rencontre des personnages prestigieux tels que Louis Aragon, Jean Cocteau, Pablo Picasso, André et Clara Malraux, ainsi qu’un grand romancier contemporain facilement reconnaissable, même s’il n’y figure pas sous son nom…
Vie du livre
Description
Dans son ultime roman au titre évocateur, Jean-Marie Magnan narre le parcours initiatique de Vincent, jeune Arlésien épris de littérature, depuis sa naissance jusqu’à son âge mûr. Une riche existence qui le mènera de l’Arles des années 1930, de l’Occupation et de la Libération, jusqu’au Paris politique, intellectuel et littéraire de la seconde moitié du XXe siècle. On y rencontre des personnages prestigieux tels que Louis Aragon, Jean Cocteau, Pablo Picasso, André et Clara Malraux, ainsi qu’un grand romancier contemporain facilement reconnaissable, même s’il n’y figure pas sous son nom…
Grandement inspiré de la propre biographie de son auteur, L’Errant sur les confins est une sorte de testament littéraire qu’illustre bien la dernière phrase du livre : « Tu ferais une excellente romancière avec mes souvenirs. »
Alors « signe des astres », comme on le dit dans sa Provence natale ? Il est émouvant d’apprendre que Jean-Marie Magnan a mis un point final à son ultime roman quelques instants à peine avant de s’endormir pour ne plus se réveiller…
Poète, dramaturge, romancier, essayiste, grand connaisseur des choses de la corrida avec ses amis Jean Cocteau, Picasso et Lucien Clergue, Jean Marie Magnan a mené de front toute sa vie son labeur de chroniqueur tauromachique et son œuvre littéraire. C’est lui qui a déchiffré et composé La corrida du 1er mai à partir d’un amas de notes de Jean Cocteau. Né à Arles en 1929, il s’y sera éteint en 2020, alors qu’il venait tout juste d’écrire le mot « fin » au bas de son dernier manuscrit.