Le vent chaud des souffles enlacés
de Jean-Marc Percier
ISBN: 978-2-37916-449-1
17,00€
La littérature poétique, comme les mots qui la composent, est par nature « indomptable ». Cela en constitue la beauté, mais rend parfois sa lecture soupçonneuse d’hermétisme voire de confusion. Désireux de rendre l’écriture poétique accessible à tous et de partager son goût des mots, l’auteur présente ses poèmes sous quatre formes révélant et clarifiant ses thèmes de prédilection.
Dans Le doux enlacement des mots, où il évoque l’amour et le désir, les cœurs palpitent comme des ailes qui battent l’air…
Vie du livre
Description
La littérature poétique, comme les mots qui la composent, est par nature « indomptable ». Cela en constitue la beauté, mais rend parfois sa lecture soupçonneuse d’hermétisme voire de confusion. Désireux de rendre l’écriture poétique accessible à tous et de partager son goût des mots, l’auteur présente ses poèmes sous quatre formes révélant et clarifiant ses thèmes de prédilection.
Dans Le doux enlacement des mots, où il évoque l’amour et le désir, les cœurs palpitent comme des ailes qui battent l’air…
Dans Le sixième sens des mots, il exprime des émotions que l’on devine entre les lignes, comme lors de rêves ou pour révéler des utopies indispensables…
La lente ascension du temps évoque des sentiments relatifs au temps qui nous prend ou à celui qui court…
Dans la partie La plume et ses raisons, il imagine des livres arrachant leurs pages, les remplaçant par des lettres plus sages…
Il offre ces mots à votre lecture. Prenez-en soin, pour que leur voyage dure longtemps dans votre cœur.
Enfant, le grand-père de l’auteur le surnommait parfois « l’écrivain » : il écrivait quelques poèmes, envoyait des lettres, il lisait aussi et plongeait dans les mots du dictionnaire comme dans une rivière d’eau claire. Le goût des mots est resté, alors il continue à jouer avec eux, les assemble pour le plaisir, jongle avec eux comme avec des balles indisciplinées…
Il a gravé dans le présent recueil des mots simples mais longtemps dispersés dans ses carnets, car il a entendu « le vent chaud de leur souffle » lui demander de les offrir à l’infini du temps.