Le double de Laya
de Christophe Vital
ISBN: 9782384418589
25,00€
L’action commence en 1895 et s’achève en 1972. Le lecteur suivra l’itinéraire du portrait peint de Laya, modèle et maîtresse d’un peintre imaginaire, natif de Nantes, depuis sa naissance dans un atelier perché sous les toits de la rue de Vaugirard, en passant par une modeste maison sur les hauteurs de Meudon, une maison close quelque part dans Paris et le quartier du Trocadéro. […]
Vie du livre
Description
L’action commence en 1895 et s’achève en 1972. Le lecteur suivra l’itinéraire du portrait peint de Laya, modèle et maîtresse d’un peintre imaginaire, natif de Nantes, depuis sa naissance dans un atelier perché sous les toits de la rue de Vaugirard, en passant par une modeste maison sur les hauteurs de Meudon, une maison close quelque part dans Paris et le quartier du Trocadéro. Les portraits traversent le temps, ils immortalisent en quelque sorte le personnage qu’ils représentent. Ainsi, durant presque un siècle, le double de Laya assiste, témoin impuissant, à la vie de ses différents propriétaires et les voit évoluer au fil des progrès de la société et des évènements qu’ils traversent (en particulier les guerres). La condition féminine est au cœur du récit et lui sert de fil conducteur. Il fait également écho à des sujets d’actualité.
Conservateur du patrimoine et des musées en poste en Vendée, Christophe Vital, pendant une quarantaine d’années, a publié de nombreux ouvrages (biographies d’artistes, ouvrages historiques) et catalogues d’expositions. À soixante-neuf ans, il publie son premier roman.
Actualité du livre
Christophe Vital était l’invité de l’émission “Sans détour” sur TV Vendée, visionnez là ici.
On en parle dans le Courrier Vendéen du 11 juin
Le 23 juin 2024 l’auteur a présidé le salon du livre de Soullans, organisé par la communauté de communes Océan Marais de Monts au musée Milcendeau, consultez un article à propos de l’évènement sur InfoLocale.fr
Ouest-France a publié un article à propos du livre :
Le journal Lire en Vendée publie une belle critique du livre :