La graine dans les nuages
de Mathis Ringenbach
ISBN: 978-2-37916-303-6
18,00€
Au début du XXIIe siècle, deux jumeaux orphelins devenus adultes tentent de survivre dans un quartier pauvre de Paris, capitale polluée par des milliers d’innovations technologiques. Le sort semble s’acharner sur eux, alors que des milliards d’humains croient à un mythe qui s’est propagé sur les réseaux sociaux : le KARMA. Touk, le premier orphelin, est un homme, tandis que son jumeau Other est un robot. Les deux, liés d’un amour fraternel sans faille et entourés d’un petit groupe au grand cœur, vont tenter de comprendre et d’infiltrer un réseau ultra-sécurisé.
Dès lors, ils mettront de côté leurs doutes et risqueront leur vie, en essayant d’en sauver de nombreuses autres…
Vie du livre
Description
Au début du XXIIe siècle, deux jumeaux orphelins devenus adultes tentent de survivre dans un quartier pauvre de Paris, capitale polluée par des milliers d’innovations technologiques. Le sort semble s’acharner sur eux, alors que des milliards d’humains croient à un mythe qui s’est propagé sur les réseaux sociaux : le KARMA. Touk, le premier orphelin, est un homme, tandis que son jumeau Other est un robot. Les deux, liés d’un amour fraternel sans faille et entourés d’un petit groupe au grand cœur, vont tenter de comprendre et d’infiltrer un réseau ultra-sécurisé.
Dès lors, ils mettront de côté leurs doutes et risqueront leur vie, en essayant d’en sauver de nombreuses autres…
Né le 10 septembre 2002, Mathis Ringenbach habite aux alentours d’Épinal, dans les Vosges. Assez rêveur, il s’est découvert une passion pour l’écriture, et plus particulièrement pour les genres de l’imaginaire. Il a commencé à écrire ce roman à l’âge de quinze ans, plongé dans une période de doutes, de remises en question, voire de troubles que nous vivons tous : l’adolescence.
France Inter dans la revue de presse de Claude Askolovitch (à partir de la 4e minute 30)
La presse en parle ici et encore ici.
Retrouvez l’auteur à la radio et en vidéo.
Emission télé de l’auteur dans la Boite à M’Alice (22e minute).
