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La bûche

de Thérèse Cigna
ISBN: 978-2-37916-385-2

17,00

La saga des Seguin et des Scarpa débute en 1842 lors d’un tragique accident de la nouvelle locomotive à Meudon, les voitures brûlent, le jeune couple Scarpa décède. Seul Angelo leur bébé d’un an survivra. Les deux familles ne se connaissent pas. Pourtant, elles sont liées par la même destinée.
1969 : Dans la cour de l’école, Niki et Léa, les petites jumelles de Marc et Françoise Seguin se disputent au jeu des osselets, le « daron » atterrit sur l’asphalte, aux pieds de Paolo Scarpa, fils d’un grand styliste parisien. À cet instant précis, les Seguin ont une dette : la loi du talion.

Catégorie : Product ID: 9070

Vie du livre

Description

La saga des Seguin et des Scarpa débute en 1842 lors d’un tragique accident de la nouvelle locomotive à Meudon, les voitures brûlent, le jeune couple Scarpa décède. Seul Angelo leur bébé d’un an survivra. Les deux familles ne se connaissent pas. Pourtant, elles sont liées par la même destinée.
1969 : Dans la cour de l’école, Niki et Léa, les petites jumelles de Marc et Françoise Seguin se disputent au jeu des osselets, le « daron » atterrit sur l’asphalte, aux pieds de Paolo Scarpa, fils d’un grand styliste parisien. À cet instant précis, les Seguin ont une dette : la loi du talion.

Après des études d’imprimerie à Saint-Étienne, Thérèse Cigna entre dans la vie active au journal Le Progrès qui participera à la réalisation de son premier recueil de poèmes. Puis, c’est au tour du Dauphiné Libéré, où Thérèse travaillera à la mise en page du journal, qui publiera ses nouvelles.
Après avoir obtenu quelques prix de concours de poésie, elle se lance dans le roman. Entre 2011-2019, quatre seront publiés. En 2020, le cinquième : La bûche.

Avis d’un lecteur, Yves Giombini :
“Dans son dernier roman, La Bûche (Editions Maïa), Thérèse CIGNA fait la brillante démonstration de son art protéiforme : poète, romancière, plasticienne en art contemporain, journaliste.
On plonge dans cette histoire, ou plutôt dans cette histoire dans l’Histoire, et on ne lâche plus l’affaire jusqu’à son dénouement final… qui pourrait tout-à fait ne pas en être un mais plutôt un nouveau commencement, un renouveau.
On comprend bien, parce que c’est dit clairement en début d’ouvrage, que cette saga familiale, industrielle, événementielle, s’appuie sur des faits réels et des êtres de chair, des personnages, au sens puissant du terme, autant romanesques que romantiques.
Il faut se laisser aller au courant tumultueux de ces vies qui ne sont pas de longs fleuves tranquilles, mais dont on suit le cours, tantôt depuis la berge, tantôt au mitan des flots. Car, tirant le meilleur de sa formation professionnelle, littéraire et artistique, Thérèse CIGNA nous entraîne dans un roman épique, un « docu-fiction », un « biopic » familial, où bonheur et drame se succèdent dans une bataille rangée ininterrompue.
Il n’est pas anecdotique de dire que le récit se passe dans le milieu de la mode, l’industrie de la couture (la haute et le prêt-à-porter), dans lesquels les arcanes de la création sont parsemées autant d’embûches que de « bûches ».
Le style est direct, concis, clair. Qui sait aussi prendre sa pose – et sa prose – émouvante, sans larmoiement superflu. Une narration aérée et entraînante. Thérèse CIGNA, la plasticienne, semble avoir guidé la romancière dans le graphisme contemporain de ces destinées.
Un réalisateur, un scénariste, de cinéma ou de quelque production audiovisuelle, pourraient trouver là une belle matière à produire une série passionnante. Qu’on se le dise !”