Balagan(e)
de Corine Braka
ISBN: 978-2-37916-464-4
19,00€
Ils sont nés ici, ils arrivent de New York, de France ou d’ailleurs… Ils se retrouvent sur le campus de l’université hébraïque de Jérusalem. L’influence de cette ville mythique, leurs rencontres, vont les amener à se bousculer, à prendre des chemins qu’ils n’avaient pas prévus…
Un Juif orthodoxe, une Arabe israélienne, une Américaine jewish princesse, un jeune français qui a fini l’armée, une fashion victime étudiante et mère de famille, un jeune homme qui vient de partout, juif par son père, croate par sa mère, à la recherche de son identité, la jolie vendeuse éthiopienne de la macolette (supérette), le surdoué russe.
Vie du livre
Description
Ils sont nés ici, ils arrivent de New York, de France ou d’ailleurs… Ils se retrouvent sur le campus de l’université hébraïque de Jérusalem. L’influence de cette ville mythique, leurs rencontres, vont les amener à se bousculer, à prendre des chemins qu’ils n’avaient pas prévus…
Un Juif orthodoxe, une Arabe israélienne, une Américaine jewish princesse, un jeune français qui a fini l’armée, une fashion victime étudiante et mère de famille, un jeune homme qui vient de partout, juif par son père, croate par sa mère, à la recherche de son identité, la jolie vendeuse éthiopienne de la macolette (supérette), le surdoué russe. Ils vont filmer en direct leur coexistence sur le campus…
Un sujet qui va ouvrir les débats avec humour sur ces vertigineux antagonismes, liés à l’amour, la haine, la guerre et la paix… Et qui mettra en lumière l’existence de cette partie du monde tellement médiatisée qu’on en perd les pédales.
Corine Braka est une parisienne par excellence. Elle et son mari ont décidé il y a quelques années de faire leur « allia » (partir en Israël). Ses deux grands enfants n’ont pas suivi mais elle a embarqué dans cette aventure ses deux derniers, de trois et cinq ans. L’idée était de prendre un nouveau tournant après que son mari ait vendu ses affaires et c’est en intégrant ses enfants à l’école qu’elle a été littéralement subjuguée par cette jeunesse israélienne : sa force, son émotionnel à fleur de peau, sa sensibilité si particulière et surtout, son atypicité.
C’est leur combat quotidien, celui qu’ils vivent dans une ambiance totalement « balagan » (désordre), qui fait tout le charme de ce pays…
Très bon retour sur la page Facebook Des livres et nous.