Description

Le sage se saisit d’un morceau de craie rouge, traça un cercle et dit : « Quand les hommes, même s’ils l’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux […] au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Arthur Berthier, notaire parisien, David Bailly, ancien légionnaire, et Waël Bassim Ghazi, un mystérieux libanais, n’auraient jamais dû se rencontrer… C’est le début d’un engrenage infernal : chantages, extorsions, assassinats, vengeance…
« Une déflagration, un choc effroyable, la moto pivote sur une roue et s’envole. Le pilote projeté contre le rail de sécurité rebondit et glisse, pantin désarticulé sur l’asphalte. Du réservoir éventré s’écoule de l’essence qui au contact du métal chauffé à blanc du moteur s’embrase instantanément. Une douleur fulgurante lui vrille le cerveau. Foudroyé, il s’évanouit. […] Quelqu’un s’approche, relève la visière du casque intégral, applique la bouche du canon de son automatique, un Glock 19, à bout touchant sur le front du gisant et appuie sur la détente. La balle de gros calibre pénètre entre les yeux et explose le crâne. »

Jean-Jacques Morize est photographe et cinéaste. Après Figures de style, publié en collaboration avec Serge Koster, et Le cœur battant, son autobiographie, Le loup du Liban est son premier roman.

Actualité du livre

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Un article est paru dans La République de Seine-et-Marne :