Dans le tome 2 de la saga, un des personnages s’insurge contre la malveillance intrinsèque de l’être humain :
« Je suis tellement malheureux de la régression que nous vivons ! Pourquoi l’Homme est-il si mauvais ? Même moi, le Souverain de l’humanité, n’ai pas de réponse ! Regardez-moi ! Ne suis-je pas la preuve que nous ne sommes qu’un ! Et pourtant, on assiste à un déferlement d’incitation à la haine, de racisme en tous genres, d’envie de pouvoir […] ! Au cours de cette année de formation, nous vous avons montré les guerres, les révolutions, les déchirements, les génocides […] Tout ce dont l’Homme est capable au nom d’un pseudo idéal, lequel dissimule en réalité une soif de pouvoir et d’asservissement […] ! Mais, nous vous avons aussi fait découvrir la magie, la beauté de la vie et ce, depuis la nuit des temps […] ! Vous avez rencontré la bonté, la grandeur de certaines femmes et de certains hommes de l’Histoire que nous avions missionnés avant vous. Ils ont fait de leur mieux pour combattre la malveillance et la perfidie d’autres humains […] ! Aujourd’hui, l’heure est venue d’accomplir votre propre destin. Vous serez seuls sur vos planètes respectives, mais jamais isolés. Nous serons toujours près de vous grâce à vos oracles. »
L’écriture permet cette chose incroyable, celle de rendre possible l’impossible.
Retrouvez Quatre – 1. Les médaillons oubliés de Mariane Gahengi