Auteur de romans historiques, Marc Fouquet publie chez Maïa son premier thriller politique jugé « à couper le souffle », par ses lecteurs.
L’histoire :
Le président de la République propose à Gaxuxa Elissalde de lui succéder. Élue du Pays basque, patronne d’un groupe industriel du domaine spatial, elle est visée par une enquête sur des faits de corruption. Dans le même temps, une ancienne figure du 20 heures suit sa course vers le pouvoir pour un grand magazine de la presse nationale. Au fil des mois, la situation de la présidentiable devient angoissante. Des crimes abjects jalonnent son parcours de candidate. Une jeune procureure de la République charge un commandant divisionnaire de la PJ d’enquêter sur les auteurs des crimes. À la lisière de l’affaire criminelle, la DGSI investigue dans les milieux islamistes, et la DGSE poursuit l’agent secret d’une grande puissance, suspecté de vouloir s’attaquer au périmètre de la souveraineté économique de la France. En charge de l’affaire, les Parquets, officiers du Renseignement et de la Police Nationale, acquièrent la certitude que la responsabilité de plusieurs organisations islamistes radicales est engagée. Au plus haut sommet de la République, l’affaire prend des proportions considérables. Jusqu’au jour où, sur le sol français, l’impensable arrive : un attentat terroriste d’une ampleur jamais atteinte fait trembler le pouvoir et les fondements de la démocratie.
Les enjeux sociétaux :
Inspiré de faits de société d’une angoissante réalité, cette fiction met en scène des situations où la brutalité frôle l’humanité, où la frénésie tutoie la poésie, où le crime longe le terrorisme. Et ce dans un contexte d’authenticité politique, judiciaire, policière et militaire. Le recrutement des terroristes est vu comme le résultat d’un prosélytisme fondamentaliste, puritain, prédicant et populiste. L’idéologie victimaire et identitaire des organisations instigatrices des embrigadements le dispute à la bien-pensance et à l’angélisme.
Le combat, mené contre les radicalismes et les processus de radicalisation, demeure au centre de la démarche de l’auteur. Roman policier est le genre de Spirale du mal, parce qu’il met en œuvre des crimes, un attentat, des coupables et des preuves. Il appartient également au sous-genre des thrillers car il emmène le lecteur dans un parcours mouvementé de la première à la dernière page en l’obligeant à s’interroger et à tenter de deviner. Enfin, il se déroule dans « l’univers politique », aux plus hauts sommets de l’État. Cependant, toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existés, ne serait que pure coïncidence !
Retrouvez Spirale du mal de Marc Fouquet