Je propose à mes lecteurs un livre sur trois thèmes particuliers : L’amour passion, l’univers libertin et la rupture. Ensuite ces idées se croisent, s’entremêlent jusqu’à, par moment, s’entrechoquer.
Je pose des questions sur l’amour. Est-il une notion propre à chacun obligatoirement subjective ? Ce qui tendrait à prouver que nous avons tous une manière unique d’aimer suivant l’instant, notre éducation, notre sexualité, notre fascination pour les expériences, et tant d’autres choses. Et qu’il n’existe pas d’amour universel. Ce qui pourrait expliquer pourquoi les dissonances de perception de chacun deviennent la cause de la plupart des mésententes amoureuses.
Le libertinage au sein du couple semblait pour moi être l’ultime don de soi par rapport à l’être aimé. Du moins au début, car cette vie sexuellement libre n’en viendrait-elle pas, à la longue, à se dévorer elle -même détruisant ceux qui pensaient en toute honnêteté suivre un chemin les mettant justement à l’abri d’une telle destruction.
L’autre sujet important du livre n’est pas le libertinage, c’est la fin d’un amour et surtout la rupture qui s’ensuit. Ce moment où l’on ne reconnaît plus l’autre et aussi où l’on ne se reconnaît plus soi-même. L’arrivée d’un état dépressif lié à cette sensation d’abandon impossible à comprendre, impossible à imaginer de la part d’un être pour lequel on aurait donné sa vie.
Rester sur cette dépression aurait laissé un livre avec un goût amer, ce que je ne voulais surtout pas, parce que c’est en fait là qu’est le thème principal de mon histoire : La renaissance à la vie. Mon livre est avant tout là pour dire qu’on peut se relever de tout.
Il est là pour apporter à toutes et à tous la preuve qu’on se relève de tout, même si on est descendu, par moments, plus bas que bas.
Retrouvez Le bonheur ne fait pas de cadeau de Antoine Dupré.