Quels ont été les retours des premiers lecteurs ? Que vous ont-ils dit sur votre livre ?
Peu de retour de mes lecteurs (sauf des amis et ceux-là ne peuvent pas compter parce que par essence ou facilité souvent flagorneurs) pour cause de crise sanitaire : impossible de le présenter dans les Salons du livre, il n’y en a plus ! Et comme ce récit est ciblé lectorat gay, difficile pour moi d’en parler dans les médias ainsi que je le fais avec mes autres ouvrages.
Que retenez-vous de cette expérience d’édition par rapport à votre travail d’écriture ? En avez-vous tiré des enseignements ?
Ce n’est pas une première expérience, y compris dans cette sorte de fiction. Je continue d’écrire dans tous les genres (poésie, nouvelles, terroir, etc.) sans état d’âme.
Quelle est l’originalité de votre livre selon vous ? A-t-elle été perçue par vos premiers lecteurs ?
L’originalité à saisir, ce serait que TOUS les couples ont les mêmes éventuels problèmes ! On est tous logés à la même enseigne, hétéros ou homos : même la maladie n’a pas de camp !
Comment s’est passé votre travail d’écriture ? Avez-vous une méthode pour écrire ? Des rituels ou des astuces ?
Je ferme les yeux et je suis le personnage sur lequel j’écris. Je vois le paysage à l’instant où je décris. Je tente de résoudre le problème en sujet du jour !…
Envisagez-vous d’écrire un autre livre ? Si oui, sur quoi avez-vous envie d’écrire pour ce prochain livre ?
J’ai publié une douzaine d’ouvrages et j’ai plusieurs textes en correction ou à l’étude chez des éditeurs, des nouvelles en attente de finalisation, et de temps en temps un poème surgit sous l’émotion de ma plume électronique : une dizaine d’heures d’ordinateur pas jour. « L’ennui est le plaisir des sots ! » Ma devise.
Loïc Le Doeuff, auteur de Un couple ordinaire, an 2000 disponible sur le site des Editions Maïa. Cliquez ici pour le découvrir.