Beaucoup d’entre nous subissent leur vie et trouvent des compensations diverses et variées. Le mot stress est un des mots les plus utilisés de la langue française. C’est le cancer de l’esprit. Celui-ci est épris de liberté. Il est sur tous les frontons des mairies. Mais quand est-il vraiment de la liberté, et qu’en est-il de notre liberté intérieure ?
Nous pouvons certes rêver au paradis de notre imaginaire, mais cela n’a jamais rien réellement changé dans notre quotidien. Il nous faudra, un jour ou l’autre, prendre le problème de face. Cela veut dire, s’intéresser de manière sérieuse à ce qui dysfonctionne à l’intérieur de nous et nous rend malheureux. C’est à ce prix de la connaissance de soi que des possibilités d’évolution épanouissante voient le jour. Alors, partant de la connaissance de ce qu’est réellement et précisément le stress, associé à nos émotions, nos pensées, enfermées dans le bocal du temps psychologique crée par notre mémoire, un chemin autre basé sur la réalité du vécu, prend forme. Une nouvelle perception de l’instant présent favorise des éclairs de libération par des prises de conscience fortes, instantanées, libératrices.
C’est par la connaissance intime du bocal dans lequel nous nous débattons à longueur de journée, qu’une possibilité de sortir la tête de l’eau apparait.
Nous pouvons partager cette approche. Ce que font les uns, les autres aussi peuvent le faire. Il ni a pas de secret. C’est une question d’attention, d’observation, de persévérance et d’accompagnement. Il ni a aucune théorie, aucune idée, aucune directive dans l’observation des comportements humains. Il suffit de voir ce qui est.
L’échange, la communication véritable et sincère, sont un enrichissement pour chacun d’entre nous. Alors pourquoi s’en priver, entamons alors un dialogue basé sur le réel.
Au plaisir de se lire,
Daniel Marcaillou