Cercle Littéraire Julien Delhorne

“Dès ma plus tendre enfance, la passion de la lecture m’a pris dans ses filets…

De la Bibliothèque Verte, je suis passé à Jules Verne, Robert Louis Stevenson, puis je me suis vite passionné pour les romans de cape et d’épée d’Alexandre Dumas. 

Aujourd’hui, mon attrait m’emmène vers les thrillers − Dan Brown, Robert Ludlum, Éric Giacometti & Jacques Ravenne −, les romans policiers − Fred Vargas, Agatha Christie bien sûr et l’incontournable Georges Simenon. Les romans historiques également avec une admiration sans borne pour Ken Follett ! Et aussi Bernard Simiot − Ces Messieurs de Saint-Malo, Le Temps des Carbec − Philippe Simiot − Le banquier et le perroquet − Irène Frain − Les Naufragés de l’île Tromelin − Catherine Decours −  Le lieutenant de la frégate légère − Jean-Baptiste Bester − Bois d’ébène, et bien d’autres encore…

J’ai aimé passionnément l’écriture de Régine Deforges et je suis tombé sous le charme de La Bicyclette bleue et des neuf volumes qui ont suivi pour achever cette puissante saga par Et quand viendra la fin du voyage…

C’est à elle que je dois d’avoir « franchi le Rubicon » et succombé au bonheur de l’écriture, devenu au fil des jours, depuis que la retraite m’en a accordé le temps, une quasi-addiction. 

Une seule journée sans lâcher quelques mots supplémentaires sur le cours d’une histoire commencée, est un jour où le soleil n’est pas parvenu jusqu’à moi. 

Écrire, c’est l’évasion, le lâcher prise… C’est s’inventer une autre vie, c’est se couler dans la peau de personnages qu’on fait vivre (ou mourir), c’est les glisser dans le réel, c’est les inclure dans l’existence, c’est vivre avec eux, en eux pendant plusieurs mois jusqu’à ce que le mot FIN s’impose. Dès cet instant, le manque s’installe : mes personnages s’échappent, ne m’appartiennent plus. Ils entrent dans un « non-être » dont ils ne sortiront que par la volonté d’un éditeur. Et, si c’est le cas, dès que l’ouvrage aura pris consistance, ils auront atteint leur but, leur raison d’exister : l’imaginaire du lecteur…”

Julien Delhorne

Quelques mots pour vous parler de mes travaux en cours :

Après avoir achevé au mois d’avril l’écriture de 238 jours, roman dont l’action se déroule en France, en Angleterre et en Algérie, du 1^er janvier au 25 août 1944, je viens d’entreprendre l’écriture d’une suite. 

En effet, la libération de Paris, si glorieuse et mouvementée fut-elle, n’a marqué qu’une étape vers la victoire et la capitulation de l’Allemagne nazie. 

Il fallait donc que mes personnages continuent leur route ! C’est ainsi que Léa de Montignac et Antoine Vauban reprennent tous deux l’action dans les rangs de la 2^e DB, lui comme combattant, elle dans la glorieuse équipe des Rochambelles, ambulancières que le général Leclerc a fini par accepter d’intégrer à ses forces combattantes.

Les premières pages de Objectif : Berchtesgaden ! sont donc en train d’éclore…

Julien Delhorne a publié Opération Anqa aux éditions Maïa.

Et Le Temps des culottes courtes est actuellement en cours de financement.